La Charte Africaine des Droits et du Bien-être de l’Enfant : « Tout enfant a droit à l’éducation » et « Les Etats signataires s’engagent à fournir un enseignement de base gratuit et obligatoire … Les Etats reconnaissent le droit de l’enfant à I’éducation, et en particulier, en vue d’assurer l’exercice de ce droit progressivement et sur la base de l’égalité des chances : ils rendent l’enseignement obligatoire et gratuit pour tous… »
Pour atteindre l’objectif de l’enseignement de base obligatoire et gratuit, plusieurs départements ministériels sont mis à contribution. C’est ainsi qu’au Burkina Faso, le Ministère de la Femme, de la Solidarité nationale, de la Famille et de l’Action humanitaire (MFSNFAH) à travers la Direction Générale de l’Encadrement et de la Protection de l’Enfant et de l’Adolescent (DGEPEA) et d’autres structures rattachées ou de mission telles le SP/CNE, le Comité Ministériel de Lutte contre le Sida, le Fonds National de Solidarité, … interviennent dans la promotion des droits de l’enfant en général et celui à l’éducation en particulier.
D’autres acteurs tels, les organismes internationaux à l’image de l’UNICEF, la FAO, l’Agence Belge de Développement (Enabel), … ainsi que des associations de développement nationales comme l’asbl I.D.S.F-B, soutiennent le gouvernement burkinabè dans son action en faveur des enfants et de l’éducation. C’est à ce titre qu’avec I.D.S.F.-B, l’asbl Enfants du Monde Belgique (EDM) collabore, au travers d’une convention signée entre les deux parties dans l’optique d’apporter sa contribution à l’édification d’un lendemain meilleur au profit des enfants défavorisés.